CES INOUBLIABLES, SI PRESENTS!

Je savoure l'EAU de LA FONTAINE.., plongée dans un agréable PREVERT...

dans un décor de POUSSIN, sur une musique de RAVEL...

je relis L' ILLYADE et L' ODYSSEE, en revant, des CONTES DU CHAT PERCHE,..

                               j'imagine, TRISTAN et  YSEULT..sous un cadre de GOETHE!

                                     ai je une "ame" de poète....je les aime et, j' en suis fière

                                      LAMARTINE d'une plume "taquine"  en "parle à MOLIERE,....

qui lui, "considère" toujours, les "Caractères....

                                       Je devine... les "coulisses" de SODOME..dévoilant certains " délices"... tres vite je m'esquive..apercevant,

                                        RIMBAUD et VERLAINE "reconnaissant..., LA BRUYERE

                                        JE m'affirme avec CORNEILLE, allongée au soleil,

                                        Alors, que...RACINE " donne vie à "ESTHER"

                                        ROSSINI , "lui"..salut CHATEAUBRIANT

                                        qui "grognon" , se gausse" de MAUPASSANT!

                                        GIRAUDOUX et....IONESCO,

                                        m'entrainent, vers COLETTE,  écrivain "passionnant"

                                       khlo ... découverte

 de COCTEAU

LA GRANDE JAJA!..... reveries d'un lundi!

                                         

               

                     

SI MOLIERE NOUS VOYAIT!

Jusqu’à dix-sept ans, Jean-Baptiste Poquelin mène ses études chez les jésuites de l’important collège de Clermont, à Paris. Il poursuit ses études de droit jusqu’à la licence. En 1643, il renonce à la charge de tapissier du roi et signe, le 30 juin de la même année, sous le nom de Molière, les actes qui créent L’Illustre-Théâtre. C’est un immédiat échec financier. A deux reprises en 1645, Molière est emprisonné pour dettes au Châtelet. Il lui reste à partir en province, parce qu’il n’y a pas de place à Paris pour un troisième théâtre. La troupe du duc d’Epernon accueille les Béjart, Madeleine, Joseph et Geneviève restés fidèles à Molière.

Le comte d’Aubijoux leur accorde, pour sa part, une importante gratification annuelle. C’est peut-être en 1653, peut-être en 1655 qu’est donnée à Lyon la première comédie de Molière qu’est L’Etourdi. Le prince de Conti devient alors le protecteur de la troupe, à laquelle il accorde son nom. Cette protection ne dure guère, puisqu’après la mort d’Aubijoux, emporté par la syphilis à la fin de 1656, Conti qui se tourne vers la religion, signifie aux comédiens qu’il leur faut « quitter son nom ».

     En octobre 1658, quand la troupe s’installe à Paris c’est sous le patronage de Monsieur, frère du roi. Molière joue, pour la première fois devant le roi Louis XIV au Louvre, une pièce de Corneille, Nicomède. Au même programme, une farce de Molière, Le Dépit amoureux. Séduit, Louis XIV accueille les comédiens dans la salle du Petit-Bourbon, voisine du Louvre où déjà jouent les italiens. Les Précieuses ridicules données en 1659 sont aussitôt un succès. Succès renouvelé dès l’année suivante avec Sganarelle ou Le Cocu imaginaire. Les travaux qui commencent pour la construction de la colonnade du Louvre, chasse les comédiens du théâtre qui doit être détruit. Louis XIV accorde alors à Molière la salle du Palais-Royal. C’est en 1661 que Molière donne sa première comédie-ballet Les Fâcheux. Fabuleux succès. La même comédie-ballet est donnée à Vaux-le-Vicomte devant le roi, lors de la somptueuse fête organisée par le surintendant Fouquet. Ce genre nouveau séduit le roi que la danse fascine. L’attention que le roi porte à Molière exaspère les jalousies et les rivalités. L’Ecole des maris est attaquée. Certain du soutien du roi, qui consent à être le parrain du premier fils de Molière, celui-ci ose écrire Tartuffe. Mais la pièce est interdite. Il ose Dom Juan. Le roi honore la troupe de Molière du titre Troupe du roi, en dépit du scandale. Tartuffe ou l’Imposteur est enfin donnée le 5 février 1669. Le théâtre fait alors la plus étonnante recette qu’il ait jamais fait. Les succès s'enchaînent. C’est Le Misanthrope, L’Avare, c’est Le Bourgeois Gentilhomme.... Ce sont Les Femmes savantes et, le 10 février 1673, c’est au théâtre du Palais-Royal la première du Malade Imaginaire. Huit jours plus tard, le vendredi 17 février, Molière éprouve un malaise en scène.

 A 10 heures du soir, il meurt chez lui. Armande Béjart obtient du roi que l’archevêque de Paris autorise le lendemain l’inhumation de celui qui n’a pu, avant de mourir, abjurer sa profession de comédien ; ce qui lui vaut d’être excommunié d’office.....

par ces "jours et années" ou le modernisme n'a guère  ou les lois, les conditions sociales économiques , debiennent, assez "difficiles" MOLIERE aurait-il toujours cette "plume" qui nous a tous "interpellés! et ses réactions seraient-elles du meme ton...

LA GRANDE JAJA!.... un Maitre qui traverse toutes les années , situtations "sans etre....de nos jours, hors contextes"

CES MARCHES TANT "PRISES"

Qui aujourd'hui, n'éprouve pas le plaisir... de prendre  de son  temps, pour se consacrer,

à découvrir les "marchés" très tendances , depuis quelques années! j'évoque,  ceux de ...., la "chine" et de la Brocante!

il est toujours agréable, de  parcourir, ces marchés ou des confiseries d'époque fabriquées sur place,  aussi ont pris  leur "succès"..et de découvrir ces "bancs" fort bien disposés, , ou il flotte un "air" du passé....et de s'adonner à  la,  re-découverte de certains meubles, de photos, de livres, d'ustensiles divers, de costumes anciens de potiches ou vases... d'avant hier, que les années 60-90 avaient  mis, de coté!

ces brocantes , ou "vides greniers, offrent, un air de fete! ambiances sourires affichés! et pour beaucoup, connaitre  de nouveaux choix à "exploiter" savamment!  avec.. le plaisir de la tchache pour discuter valeurs et prix....et utilités anecdotes et beautés!

 la TV   elle meme,  par une série bien construite autour de VICTOR LANOUX et EVELYNE BUYLE, a su créer,  une envie de vivre selon son budget,  sous un air "libertés" donc, de se prendre à aimer converser , sans portables à l'oreille... et de vivre un peu plus simplement, pour découvrir, sur certains sites, des objets enfouis dans nos mémoires, un peu surchargées d'appareils à "puces".....

 là, ces fameux marché aux puces (nommés ainsi, à PARIS) et, brocantes en province, font remonter le temps; il arrive d'y acquérir du "beau", voir du rare! d'acheter pour décorer.. voir de "retaper,  l'esprit se remet à refléchir, les esprits  à glaner, pour mieux "toucher" et, essayer, sciemment ou.. inconsciemment de  retrouver, le gout des jours d'antan....

 les choses sont ainsi faites, ces objets délaissés, "hier"... sont aujourd'hui de nouveau recherchés et, fort convoités.., un vrai bonheur, à apprécier ainsi!

chacun trouve son "envie"et , chacun à son prix choisi!

ces marchés relancent l'art du dialogue, des amitiés simples.. ,  de la dégustation, d' un petit verre en main- biscuit au palais, de pouvoir "mesurer"  de comparer, d'évaluer, de fouiller...de "trouver...la beauté d'une toile d'auteur méconnu, qui reste une vraie... oeuvre, ou, de se souvenir "d'une vieille cafetière", d'un tabouret cassé ... d'objets, qui ont tous... "un vécu"!

on retrouve des jouets en bois, des voiture miniatures d'autrefois, on rencontre des sculpteurs des artisans "divers", qui réalisent du concret, des couleurs palies mais vivantes, et parfois sous une pile de torchons..brodés ou pas.. (pourquoi pas?)... des cahiers à connaitre...

En bref : beaucoup de "Notre Passé", la bonne humeur et plaisirs à la clé!

LA GRANDE JAJA! ...la vie cree.. de jolis moments, à Nous de les découvrir..et d'en savoir profiter