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société

  • ELLE S'APPELAIT "SAGAN"........JE L'AI DÉCOUVERTE GRÂCE à "BONJOUR TRISTESSE"....

     

    Françoise Quoirez, plus connue sous le pseudonyme de Françoise Sagan, est une femme de lettres française, née le  à Cajarc (Lot) et morte le  à Équemauville (Calvados).

    Elle devient célèbre dès son premier roman, Bonjour tristesse, publié en 1954, alors qu'elle n'a que dix-huit ans. Elle est connue pour la « petite musique » de ses récits romantiques mettant en scène une bourgeoisie riche et désabusée, mais aussi pour défrayer régulièrement la chronique mondaine et judiciaire. Qualifiée de « charmant petit monstre » par François Mauriac, elle écrit également des biographies, des pièces de théâtre, des chansons, et collabore à l'écriture de scénarios et de dialogues de films.

    Origines et enfance

    Françoise Marie Anne Quoirez naît le  à Cajarc, dans le Lot, où vit sa famille maternelle, les Laubard, propriétaires terriens. Sa mère, Marie Laubard (1903-1989), est l'épouse de Pierre Quoirez (1900-1978), issu d'une famille d'industriels du nord de la France. Ingénieur IDN (École centrale de Lille, promotion 1921), il dirige la société des fours Rousseau, à Argenteuil.

    Françoise est la quatrième enfant du couple. Sa sœur Suzanne est née le 6 janvier 1924, son frère Jacques le 20 août 1927. Un autre frère, Maurice, est mort en bas âge. Après la perte de cet enfant, la naissance d'une petite fille apparaît aux Quoirez comme un cadeau du ciel. Ils passent à Françoise tous ses caprices ; sa sœur dit à ce sujet : « Elle était une enfant pourrie-gâtée. Toute sa vie, elle a joui d'une totale impunité. » Tristan Savin écrit : « Adulte, gâtée par le succès, elle restera un Petit Poucet androgyne, qui sème des trous de cigarettes partout sur son passage. »

    Françoise Sagan est surnommée « Kiki ». Son enfance se partage entre Paris et le Lot. Durant l'Occupation, la famille vit à Lyon et passe week-ends et vacances à Saint-Marcellin, dans l'Isère, où Pierre Quoirez dirige l'antenne de la Compagnie générale d'électricité.

    Françoise Sagan dit être restée marquée toute sa vie par un film d'actualité sur les camps de concentration qu'elle voit quand elle a dix ans, en 1945, au cinéma Éden de Saint-Marcellin : « Mes parents étaient vaguement antisémites avant la guerre, dit-elle, puis, pendant la guerre ils ont caché des Juifs. C'était normal puisque c'était épouvantable. Après, ils sont redevenus vaguement antisémites, alors que, pendant la guerre, ils ont failli tous nous faire tuer, les enfants et eux-mêmes, pour cacher des gens qu'ils estimaient. »

    Après la guerre, la famille retrouve l'appartement du 167, boulevard Malesherbes, à Paris. La scolarité de Françoise Sagan est mouvementée. Elle entre en 6e au cours Louise-de-Bettignies. Elle est renvoyée trois mois avant la fin de l'année scolaire : « J'étais assez infernale. Finalement, j'ai été mise à la porte. J'avais pendu un buste de Molière par le cou, avec une ficelle, à une porte, parce que nous avions eu un cours particulièrement ennuyeux sur lui. Et puis, jouant au ballon, j'ai flanqué une gifle à quelqu'un, je ne sais plus. »

    Elle est ensuite renvoyée du Couvent des Oiseaux pour « manque de spiritualité ». Elle fait un passage « épouvantable et fulgurant » au Sacré-Cœur-de-Bois-Fleuri, à La Tronche, près de Grenoble. Elle fait un trimestre à La Clarté, une école catholique de Villard-de-Lans, où elle laisse un « très bon souvenir ».

    À côté de cette scolarité chaotique, elle lit énormément : Les Nourritures terrestres de Gide à 13 ans, L'Homme révolté de Camus à 15 ans, Les Illuminations de Rimbaud à 16 ans, MussetRousseauLe Sabbat de Maurice Sachs, tout Cocteau, les poèmes de ShakespeareProustBenjamin ConstantNietzscheFaulknerColettePrévertStendhal, la Série noireFlaubertHemingwayFitzgerald, un peu Malraux, et Sartre, avec qui elle deviendra amie plus tard.

    De retour à Paris, elle entre au cours Hattemer. Elle s'y lie d'amitié avec Florence Malraux, fille d'André et de Clara Malraux. En 1951, elle n'obtient sa première partie de baccalauréat qu'à la session de rattrapage. Le scénario se reproduit l'année suivante : elle doit passer l'été 1952 dans une « boîte à bac », l'institut Maintenon, et n'obtient sa deuxième partie de baccalauréat qu'en septembre. Elle s'inscrit à la Sorbonne. Jacques, son frère, l'entraîne dans les boîtes de nuit et les clubs de jazz de Saint-Germain-des-Prés. Elle y côtoie la jeunesse parisienne bourgeoise, fait la fête et boit de l'alcool.....

    « Vous savez, à cette époque, les filles se mariaient, point final ! Si je n'avais pu écrire, j'aurais voulu être médecin… en fait, je n'aurais jamais eu le courage de faire ces études, ni rien d'autre que d'écrire... » explique-t-elle en 1991 au jeune journaliste Jean-Luc Delblat qui deviendra l'un de ses confidents....

    LA GRANDE JAJA! "Merci Madame"           Françoise Sagan, écrivain, évolution , femme,mode, société,

  • DIFFICILE D'ACCEPTER DU MOINS POUR MOI...CERTAINS COMPORTEMENTS "FABRIQUES"..à TOUS JE SOUHAITE UNE BONNE ANNÉE

    Nous sommes le 08 Janvier 2017,

    Il est de bon ton de présenter ses Vœux,pour l'Année Nouvelle..Je vous souhaite donc, Une Bonne Année, et une parfaite Santé, en toute "Amitié"!

    Mes Vœux, les plus sincères, Joie, Bonheurs, Amour, prospérité, sérénité..et Paix! 

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     Mes Vœux, sont sincères, ..et souhaités, en Toute Amitié...Ce mot Amitié, m'entraîne à bien réfléchir, surtout dans ce Monde virtuel, que Je respecte complètement.

    Ce qui me "chagrine" sincèrement, c'est l'attitude, et le comportement troublant, qui apparaît, chez des "ami(e)s", au fil des jours. Je ne supporte pas,les sentiments fabriqués. Ils faussent la Société, déroutent les personnes, qui ont accordé leur confiance.Et arrivent à déstabiliser, en semant une certaine relation, illogique, et contraire, à ce qui avait été fortement établi, au début de leur "soi disant complicité"....

    J'ai donc décidé en ce début d'Année 2017, de me prendre le culot de dire, à des ami(e)s, inconstants...ou, à mon opposé d'intégrité : "Stop Tu as tout faux"!

    Ce n'est pas aussi évident, que l'on croit..l'amitié est parfois difficile, à mesurer.

    Curiosité démesurée,Orgueil d'être, flatteries ridicules,Jalousie,Mensonges, Jugements de valeurs,Domination, Sottise. tout basiquement,sont les points forts,des faux ami(e)s, qui revendiquent, et contestent...Il se considèrent comme des petits génies...revendiquent leur "liberté de penser"!..je pense, à un(e) ou deux Amitiés faussées, démasquées ces dernières semaines...c'est impossible, du moins pour Moi.. d'assumer, leur tricherie..

    à Trop vouloir savoir, à trop vouloir connaître..Mais, après tout qui êtes Vous...? au juste!

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    j'ai envie de redire, comme il a été dit écrit, plus de "mille fois" au moins..Ce ne sont, ni vos diplômes, ni vos attitudes dominantes, qui font de Vous, un être supérieur...Vous connaissez Tout? et Vous savez "Tout faire"? J'avoue que cela me fait peur...Vos discussions sont vides, et vos "sourires" sont niais..et méchants! 

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    En faîte, Vous n'êtes "Rien"!!!!..malgré vos apparences...C'est ça la différence, qui m'éloigne de Vous!

    Je vous souhaite une Bonne année malgré tout...une année découverte, Comme quoi,il est très facile, de se passer de Vous!

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    La Grande jaja...j'aime ces petits coup de "gueules" pas vraiment méchants, qui remettent, tout simplement à la bonne heure, l'horloge de mon Temps!

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  • CES HIVERS DE MON ENFANCE REELLE OCCASION D' APPRENDRE à COMMUNIQUER EN PLEINE CONFIANCE

    je me souviens encore, de mes journées d'hiver, lorsque j'étais enfant.

    Nous n'avions pas encore la télévision..Nous aimions découvrir, les jeux ou jouets, que nous avions reçus, pour Noël..le froid,imposait de rester, au chaud, la plupart du temps.souvent, comme mes frères, je m'installais, devant la cheminée.amercredi(001)feudecheminéeanimé.gif

    La flambée parsemait une belle senteur de bois grillé, vers 16 heures, Nous nous réunissions, pour savourer un très bon "goûter", Petits et Grands se délectaient! Nous allumions la lumière, pour continuer à jouer..bojanvier(06).jpg

    Je passais pas mal de temps, à jouer avec mes Poupées, j'aimais leur confier les petits , mais "importants" secrets! Je suis certaine, que les hivers de ma petite enfance, étaient, plus chaleureux, que certains d'aujourd'hui...Ou le temps se "passe" très différemment!...Les livres et les jeux de société, remplaçaient, les longues heures de télévision, ou aucun membre de la famille, ne se parlent...Très (trop) vite *, chacun vit avec une certaine distance.

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    Ma sœur et moi, en fin de journée, très souvent, avions cette chance, d'aider ma Mère dans ses préparatifs de repas, c'est là, toute la différence. Non seulement , nous apprenions des recettes , agréables à proposer aujourd'hui...mais nous pouvions sereines, nous confier, parler, en toute détente, et confiance, entre Nous, et poser les questions à notre Mère, qui répondait fière et ravie!

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    J'adorais, ces fins de journées d'hiver, la préparation des repas, se terminaient, souvent par des éclats de rires, dans une très bonne ambiance! les Parents prenaient, notre place, auprès de la dernière flambée. J'aimais à la tombée du jour, monter dans ma chambre, pour retrouver mes peluches, à qui je me confiais! C'était une vraie période d'insouciance..L'Enfance, a besoin de cette insouciance, pour "grandir", tranquille, imaginer, sans trop d'influences, comme aujourd'hui, ou..les "Idées" indirectement sont, très souvent, "trop vite et mal imposées"..

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    Je ne suis pas contre le "modernisme"  d'aujourd'hui, télévision, ordinateurs, ont ouvert d'autres "portes", et de nombreuses possibilités de découvrir, et de communiquer...Cependant, à mon humble avis, il serait nécessaire, de gérer le temps différemment. Les Enfants, sont souvent repliés dans leur "petit monde virtuel", qu'ils ont su fabriquer...Et les séries assez violentes, à mon goût pour beaucoup...offrent pas mal de repères faussés...Il devient très difficile, entre Parents et Enfants de se retrouver, pour recadrer, les problèmes du quotidien. A trop avoir pris une certaine distance, et unefaçon de communiquer...Cela n'est guère facile, d'oser, se "confier", en toute simplicité...

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    La Grande Jaja....Prendre le Temps pour savourer, et maîtriser l'instant, au fil des années, en Toute Complicité!